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Psy et coach : quelles sont leurs différences et complémentarités ?

Quand une psy, un coach et un médecin se rencontrent, de quoi parlent-ils ? De différences et complémentarités de leur métier bien sûr. Découvrez dans cet article le fruit de nos échanges, toujours riches, pour comprendre et choisir.


Psy et coach : quelles sont leurs différences et complémentarités ?

Lorsque je parle de mon métier de coach de vie avec des amis ou connaissances, il n’est pas rare que l’on me pose des questions du style « t’es un genre de psy en fait ? ». En fait, non, justement, coach personnel et psy sont des métiers différents et complémentaires. Mais alors, si vous faites face à des difficultés ou des interrogations, que vous ressentez le besoin d’un accompagnement pour changer quelque chose dans votre vie, à qui s’adresser et comment choisir ? Ces questions, on en parle aussi entre psy, coach et médecins. J’en ai discuté avec Hélène Soubre, psychologue clinicienne et Patrice Laloux, médecin neurologue et coach. Je vous laisse découvrir le fruit dans nos échanges dans cet article qui vous aidera à y voir clair.

Un trio au top : psychologue, médecin, coach de vie 

Pour commencer, laissez-moi vous présenter Hélène et Patrick.


Hélène Soubre

Psychologue clinicienne

Autres formations : psychothérapie, communication non violente (CNV), hypnothérapie, thérapie brève orientée solutions, psychologie systémique et love coach

Passionnée de relations humaines, notamment amoureuses (LGBTQIA+), et par la danse latino

Sa devise : Quand tu parles tu ne fais que répéter ce que tu sais. Mais quand tu écoutes, tu peux apprendre quelque chose de nouveau (Dalaï Lama)

Hélène n’a eu de cesse d’étoffer son cursus de base avec des formations complémentaires dans un souci de qualité de soins, bien sûr, mais aussi et surtout par soif d’apprendre comme elle le dit elle-même : « J’aime apprendre et mon métier est une source inépuisable d’apprentissages, tant à travers des formations qu’à travers les contacts avec les patients et leur histoire toujours unique. »

Après 10 ans de travail au sein d’un planning familial, Hélène a choisi de pratiquer son métier en libéral au sein du centre Emi’santé qui regroupe des praticiens de différentes disciplines, permettant une approche globale de la santé en un seul lieu. Psst : Wolfpack coaching  travaille aussi au centre Emi’Santé et la première séance est gratuite ;-)


Patrice Laloux

Médecin neurologue, professeur en neuroscience (UCLouvain et UNamur)

Autres formations : coach certifié PCC (ICF), maître PNL (Programmation Neuro Linguistique)

Retraité hyperactif aux activités multiples.

Sa devise : Vivre c'est être utile aux autres, vivre c'est être utile à soi (Sénèque)

À travers son expérience de médecin neurologue, Patrice a notamment travaillé avec des psychologues pour la prise en charge de patients présentant des plaintes somatiques, comme des céphalées et autres douleurs chroniques. Ce travail en synergie a été très révélateur sur différents cas en mettant en avant la dimension psychologique de symptômes physiques. 

Le milieu médical l’a aussi régulièrement confronté aux ravages que peut provoquer le burn out et l’exposition au stress, tant chez les patients que dans les équipes de soignants.

Fort de ce constat et porté par son désir d’être utile, aux autres et au monde, Patrice s’est également formé en tant que coach auprès de l’ICF (International Coaching Federation). Ajoutons à cela ses activités de mentor auprès de jeunes neurologues auxquels il transmet son expérience ainsi que ses activités de coaching chez Onemanagement dans le cadre du programme Sensecare (programme de prévention et prise en charge du burn-out en entreprises) et sa participation active à un projet FEDRIS pour le secteur hospitalier et bancaire, cela fait un agenda bien rempli pour un retraité hyperactif. 

« J’aime être au service des autres, me rendre utile, que ce soit en tant que médecin mentor pour transmettre mon expérience ou en tant que coach pour accompagner des changements de vie, personnel ou professionnel. »

Patrice a de multiples casquettes et une grande richesse d’expériences qu’il met à votre service en tant que coach, notamment sur des problématiques liées au burn out et à la gestion du stress.

Et moi ? Si vous suivez mon blog, vous me connaissez peut-être déjà mais voici un petit rappel de l’essentiel


Jonathan Blond

Coach certifié ICF PCC - Coaching Ways

Autres formations : coach shit maker, conseiller en prévention niveau 1 et bioingénieur

Ses maîtres mots sont la coopération, l'action et le leadership.

Sa devise : J'aime la vie et elle me le rend bien !

Dans mon parcours d’entrepreneur, l’importance des relations humaines m’est vite apparue comme fondamentale. Partant de ce constat et de ma personnalité, devenir coach en développement personnel était une évidence et je mets aujourd’hui mon expérience et ma formation au service de vos objectifs. Le tout sous le signe de l’écoute et de la bienveillance.

 

Psychologie, coaching de vie, quelles différences ? 

Les confusions entre psychologues et coach de vie sont nombreuses chez les patients mais parfois aussi chez les médecins et thérapeutes eux-mêmes. Si ces deux disciplines partagent des similarités, il s’agit néanmoins de deux métiers bien différents et complémentaires.

A ce titre, Hélène met en avant la dimension temporelle : en psychologie, le passé et le présent sont souvent prépondérants là où le coaching est ancré dans le présent et tourné vers l’avenir.

La psychologie s’intéresse au problème qui se pose au présent et cherche à comprendre l’environnement (humain, matériel, histoire de la personne…) pour en cerner les causes. Cette compréhension vise alors à ce que le problème ne se reproduise plus ou qu’il puisse être accepté par le patient pour avancer.

Le lien au corps et les questions de somatisation sont également prépondérants en psychologie. Les manifestations physiques sont souvent la traduction d’un mal être psychologique.” 

En psychologie, comme en coaching, on travaille aussi beaucoup sur les croyances, leurs impacts positifs et négatifs, leurs recadrages et, le cas échéant, leurs déconstructions. Nous avons tous des croyances mais certaines peuvent être d’origine traumatique. Le travail sur des traumas relève en général plutôt de la psychologie mais un coach peut aussi repérer ce type de problème sous le couvert d’une autre demande et rediriger la personne vers un psy si nécessaire.

Concernant les croyances, Patrice souligne l’importance de bien mettre les limites entre psychologie et coaching : le travail en coaching peut mettre en évidence certaines croyances et leur implication dans le présent. Cependant, s’il s’agit de croyances limitantes anciennes, fortement ancrées et intimement liées à l’histoire de vie de la personne, l’intervention d’un psy reste préférable.”

Un coach en développement personnel ne vous imposera jamais d’aller voir un psy. De manière générale, un coach ne vous imposera d’ailleurs jamais rien. Avec sa double casquette de médecin et de coach, Patrice mentionne une différence de position dans la relation : un médecin a, bien souvent, une position « haute » par rapport au patient auquel il prescrit un traitement, quel qu’il soit. Le coach quant à lui, est plutôt dans une position « basse » dans le sens où il cherche à accompagner le coaché à faire émerger ses propres solutions.

Une exception est cependant possible: si votre coach perçoit un danger imminent pour vous, par exemple des idées suicidaires, il est alors de son devoir de se montrer plus interventionniste pour assurer une prise en charge rapide par des personnes dûment formées.

Outre l’aspect temporel, il y a donc aussi une notion de « gravité » qui oriente le choix vers un psy ou un coach : si vous êtes en dépression sévère ou en phase aiguë d’un burn out, un accompagnement médical et psychologique est primordial. A contrario, si vous souhaitez un changement précis, d’ordre privé ou professionnel, et que vous avez du mal à atteindre votre objectif, le coaching de vie est tout indiqué. 

Schématiquement, un travail psychologique est un CDI là où le coaching est un CDD. Je m’explique : en coaching, à partir de votre demande, vous établirez un contrat avec votre coach précisant le nombre de séances en fonction de l’objectif concret poursuivi. En psychologie, la demande initiale est souvent plus floue ou plus globale, elle peut même « cacher » le véritable objet de la demande. Hélène illustre ce phénomène à travers son expérience : Par exemple, une personne peut s’adresser à moi dans le cadre d’un sevrage tabagique mais le travail psychologique peut mettre en évidence des problèmes enfouis, souvent inconsciemment, qui font obstacle à l’arrêt de la cigarette. La demande initiale est alors, en quelque sorte, l’arbre qui cache la forêt, et le travail psychologique visera à faire émerger la véritable nature du problème rencontré.” Dans ce contexte, on ne peut pas déterminer d’avance combien de séances cela va prendre. Le CDI reste cependant négociable et révocable à tout moment, en fonction des demandes du patient.

Un psychologue peut aussi conseiller un coaching à son patient lorsque le travail psychologique aura mis en évidence un objectif clair. Le coach peut alors prendre le relais pour établir le processus afin d’atteindre l’objectif, toujours en accord avec le patient.


Psychologie, coaching de vie, quelles complémentarités ? 

Psy et coach observent un cadre de travail strict avec des normes éthiques telles que la confidentialité des échanges ou le consentement libre et informé du patient. La déontologie occupe une place importante dans les deux cas, même s’il est plus formel pour les psychologues (code déontologique légalement établi)

Pour le coaching, le travail de l’ICF (International Coaching Federation) fait figure de référence. En France, il sert de base au développement d’un cadre légal pour l’activité de coach personnel. En Belgique, le travail est moins avancé au niveau légal mais ce code reste une référence de poids. Patrice souligne d’ailleurs sur la première compétence de ce code : “L’ICF est très attachée à bien cadrer l’activité des coachs, leur intégrité et le respect de leurs limites de compétences. Ce code prévoit d’ailleurs des sanctions sous forme d’exclusion de l’ICF en cas de dépassement des limites par des coachs qu’elle forme et encadre.” 

En coaching comme en psychologie, il s’agit aussi d’accompagner le changement à travers un processus visant à mobiliser ou (re)découvrir les ressources du patient/coaché. Jamais un « bon » coach ou un « bon » psy ne vous servira de solutions toutes faites. Ils peuvent informer sur des pistes en fonction du travail thérapeutique mais toujours en s’assurant du rôle actif du patient dans les décisions.

Cette notion est fondamentale : le patient/coaché est toujours considéré comme un acteur du processus, actif et engagé. Nous ne sommes plus à l’époque où les professions médicales et paramédicales étaient considérées comme seuls dépositaires des solutions de santé. Hélène souligne que l’OMS définit d’ailleurs la santé de manière globale en la liant à la notion de bien-être.

L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit la santé comme « un état de complet bien-être physique, mental et social, [qui] ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité »1 . La santé est ainsi prise en compte dans sa globalité. Elle est associée à la notion de bien-être. (source : https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2018-03/presentation_generale_rbpp_sante_mineurs_jeunes_majeurs.pdf )

Les deux approches sont aussi parfaitement complémentaires : un psy va avoir une approche « curative », en cherchant à bien identifier le problème, ses causes et les pistes de solution pour définir l’objectif de changement. C’est le moment idéal pour s’adjoindre les services d’un coach qui, dans une approche alors « générative », va accompagner le coaché dans la création et la mise en place de solutions concrètes pour atteindre l’objectif fixé.

“La meilleure preuve de complémentarité des approches me vient de patients eux-mêmes.” explique Patrice.Dans mon parcours, j’ai eu l’occasion de travailler en tant que coach en duo avec des psys. Les patients suivis de cette façon sont très positifs sur la complémentarité des deux disciplines.” 

Lors d’un travail en synergie, le psy permet d’explorer très largement les difficultés et le vécu du patient pour éclairer le présent. Le coach lui permet d’ancrer les enseignements et les pistes de solutions dans le présent, l’avenir et le concret du quotidien.

Les complémentarités et similitudes entre coaching et psychologie relèvent surtout du coaching personnel, centré sur l’individu. Dans les milieux professionnels, comme le coaching de managers, d’équipe ou encore de team building, le coaching s’avère généralement mieux adapté. L’origine du coaching est d’ailleurs liée au contexte professionnel”, explique Patrice.Cette discipline s’est développée d’abord dans les milieux sportifs et dans le monde de l’entreprise en général.”

Psy ou coach : le rôle du médecin de famille pour vous aider à choisir 

En tant que référent de première ligneen matière de santé, le médecin généraliste peut jouer un rôle fondamental dans une prise en charge psychothérapeutique comme l’explique Hélène : en tant que psy, je reçois des personnes qui sont soit envoyées par leur médecin de famille, soit par d'autres professionnels, ou encore, qui m'ont trouvée via le bouche à oreille ou par internet. Le médecin de famille peut donc jouer un grand rôle dans l'orientation de la demande et l'initiation d'un travail thérapeutique. Le patient va pouvoir se sentir légitimé, reconnu et encouragé dans sa demande d'amélioration de bien-être et va pouvoir ainsi faire le pas, plus facilement, d'aller voir un thérapeute. Une fois le suivi thérapeutique en cours, il peut être utile de continuer à voir le médecin de famille pour faire le point. Par exemple, dans les cas de burn out, anxiété, dépression, le médecin de famille va pouvoir faire le bilan sur l'état de santé, sur la prise de médicaments, sur le renouvellement de certificats si nécessaire, etc. ”

Parfois, l'inverse se passe : c'est le psy qui oriente le patient chez le médecin. En effet, par exemple, un sentiment de fatigue général, d'épuisement, des problèmes de sommeil, peuvent nécessiter un bilan sur d'éventuelles carences et une évaluation de la situation par un médecin peut permettre un véritable coup de pouce dans l'amélioration du bien-être mental.

Bien que la consommation d’antidépresseurs et autres benzodiazépines reste élevée en Belgique, les pratiques des médecins généralistes en matière de prise en charge de problèmes psychologiques évoluent. Le recours à la psychologie et au coaching enrichit leur « arsenal thérapeutique ». En tant que médecin et coach, Patrice plaide pour un renforcement de l’information des médecins généralistes sur le coaching et son utilité. Un patient confronté à un stress lié à une problématique professionnelle précise aura ainsi plus intérêt à consulter un coach. A contrario, un patient présentant des troubles anxieux sévères sera plutôt dirigé vers un psychologue, en plus d’un traitement médicamenteux, si le médecin le juge nécessaire.

Psychologue ou coach de vie : quels critères de choix ?

Comme expliqué plus haut dans cet article, il faut avant tout bien cadrer les deux disciplines : le coaching se conjugue au présent et au futur, à partir d’un objectif concret, la psychologie va rechercher dans le passé pour éclairer le présent, identifier les causes et proposer d’autres outils.

Dans la boîte à outils d'Hélène : l'hypnose

Parmi les outils thérapeutiques que j'utilise, l'hypnose occupe une place importante. Bien loin de l'idée de perte de contrôle véhiculée par certains spectacles d'hypnose, il s'agit d'un état actif et volontaire de la part du patient. C'est un état de conscience modifiée, un peu comme quand on est totalement absorbé par une tâche, un film... jusqu'à en oublier ce qui nous entoure. C'est donc un état que nous expérimentons tous à certains moments, sans forcément nous en rendre compte.

Votre médecin traitant est aussi une référence pour vous donner des contacts utiles mais, une fois que vous posez un choix entre psy ou coach, encore faut-il trouver celui ou celle qui vous convient. A ce niveau interviennent deux types de critères : objectifs et subjectifs.

Critères objectifs

La formation du coach ou du psy est un premier critère important. Pour les psy, le titre de psychologue est déjà, en soit, une information attestant du sérieux de son bagage : un psychologue est forcément détenteur d’un diplôme universitaire spécifique. Cette formation de départ peut être complétée par des formations de psychothérapeute, de coach... Pour vérifier qu’un psychologue est bien inscrit à la Commission des psychologues, rien de plus simple : surfez sur compsy.be

Les psychologues développent aussi certaines spécialités, il n’est par exemple pas très pertinent de s’orienter vers un psy spécialisé en troubles alimentaires si votre problème concerne votre vie amoureuse ou professionnelle.

Pour les coachs en développement personnel, la formation et l’expérience sont aussi des critères fondamentaux. Un diplôme d’une institution reconnue par l’ICF est la référence actuelle la plus solide. L’expérience est aussi importante, raison pour laquelle vous trouverez sur le site de Wolfpack coaching un compteur attestant du nombre d’heures de coaching  à mon actif (1356 h. au 23/01/22).


L'ICF prévoit différents grades de certification de ses coachs en fonction de leur bagage et expérience :

Associated Certified Coach(ACC),
Professionnel Certified Coach (PCC),
Master Certified Coach (MCC).

Patrice et moi-même portons le grade PCC et mettons notre expérience au service de vos projets.

A cela s’ajoutent bien sûr des critères basiques et concrets tels que la localisation géographique et les tarifs pratiqués. Chez Wolfpack, la première séance est gratuite, n’hésitez pas.

Critères subjectifs

Hélène, Patrice, moi et même les études sur le sujet sont unanimes : la condition sine qua none de la réussite de tout travail d’accompagnement, c’est la relation de confiance. La base est donc, en quelque sorte, une question de feeling : ne vous dirigez pas vers une femme si vous vous sentez plus à l’aise avec un homme et inversement, ne vous acharnez pas si vous ressentez un malaise avec le thérapeute ou coach… Faites confiance à votre ressenti.

On ne trouve pas forcément la bonne personne du premier coup, en première ligne, votre médecin de famille peut vous prodiguer des conseils et contacts utiles. Pour rendre votre choix plus confortable, j’offre toujours la première séance afin de vous permettre de savoir qui je suis et si vous vous sentez à l’aise avec moi.

L'effet placebo, vous connaissez ?

Dans les études médicales sur le sujet, Patrice souligne que l’effet placebo peut induire des bénéfices estimés jusqu’à 30% dans l’efficacité d’un traitement, particulièrement dans les essais pharmaceutiques qui impliquent un suivi étroit des patients. Ce suivi renforcé contribue à installer la confiance dans la relation thérapeutique et en améliore les effets bénéfiques. De la magie ? Non, de la science et, plus précisément, de la neuroscience. L’effet placebo est une expression trop souvent utilisée de manière péjorative et c’est dommage : c’est la preuve scientifique de l’influence du mental sur le physique.

Il n’est pas toujours évident d’y voir clair, surtout quand on n’est pas bien dans sa peau. Sans être exhaustif, voici quelques indices qui peuvent vous alerter :

  • Si vous avez le sentiment d’être jugé ou pas écouté;

  • Si le/la thérapeute/coach vous donne des solutions miracles toutes faites, genre « recettes de cuisine »;

  • Si le/la thérapeute/coach vous parle de sa vie privée sans que cela n’ait de lien avec votre situation ou demande;

  • Si vous ressortez des séances avec un sentiment de culpabilité;

  • Si le/la thérapeute/coach vous touche sans votre consentement, sans que cela ait un rapport avec le processus thérapeutique ou si cela vous met mal à l’aise, même si le geste paraît anodin;

  • Si le/la thérapeute/coach vous impose un mode de fonctionnement qui ne vous convient pas. Le cadre doit toujours être négociable avec votre thérapeute/coach, le but étant qu’il VOUS convienne.

D’une manière générale, tout sentiment d’insécurité dans la relation est un signal d’alarme. Certaines questions ouvertes peuvent parfois générer un malaise chez le coaché parce ce qu’elles induisent de véritables prises de consciences positives pour le changement. La relation reste alors toujours dans la bienveillance et avec le consentement de la personne.

Soirée découverte sur le coaching : rendez-vous le 22 février

Je fais le plus beau métier du monde ! Les êtres humains et leurs interactions me passionnent, c’est un bonheur quotidien d’accompagner des personnes vers leur objectif. Je m’enrichis tous les jours, grâce à mes coachés, grâce à mes pairs et aux autres professionnels de l’accompagnement que j’ai la chance de rencontrer. 

Je remercie vivement Hélène et Patrice de leurs contributions à cet article, je suis heureux d’avoir croisé votre route et j’attends avec impatience les occasions de collaborer à nouveau avec vous.

Vous êtes professionnels de la santé ou de l’accompagnement ? Vous êtes médecin, psy, coach et vous vous posez des questions sur les complémentarités de ces différentes disciplines ? Je vous propose de répondre à vos questions lors de la soirée coaching du 22 février, à Suarlée (Actibel, Business Village Ecolys) de 18h à 22h. Vous pourrez découvrir ce qu’est le coaching et ce qu’il peut apporter à vos patients ou à vos proches. 

Je vous expliquerai notamment, grâce à des cas concrets, ce qu’un client retire de séances de coaching et en quoi ces séances sont différentes et complémentaires à la psychologie ou au traitement de la dépression, burn-out, etc. 

La participation est gratuite pour les soignants (médecin, pharmacien, psy, …), n’hésitez pas!

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