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À la rentrée, gérer son temps pour en gagner

Coaching personnel

Vive la rentrée ! Et son lot de stress et de courses contre la montre : le boulot reprend sur les chapeaux de roues tout comme la vie scolaire, il faut retrouver le rythme. Les vacances semblent déjà bien loin et vous vous demandez où passent vos journées ? Équilibrer vie professionnelle et vie privée devient un combat quotidien ? Et si vous n’étiez pas seul(e) face à ce défi ? Avez-vous déjà pensé à faire appel à un coach de vie personnel ? A travers l’histoire de Sophie, je vous invite à découvrir en quoi un coach personnel peut vous aider à établir vos priorités et dompter votre agenda, entre autres choses.

À la rentrée, gérer son temps pour en gagner

Qu'est-ce qu'un coach en développement personnel ?

Coach de vie, coach en développement personnel, coach personnel, les appellations sont nombreuses. Pour mieux comprendre le coaching, commençons par ce qu’il n’est pas : ce n’est pas une thérapie, ni une formation et encore moins une solution magique, c’est un processus dans lequel je vous accompagne pendant quelques semaines ou quelques mois. 

Ce processus se base sur une demande explicite de la part du coaché, en relation avec un objectif, qu’il s’agisse de mieux gérer son temps et son stress, d’opérer un changement professionnel ou encore d’améliorer sa communication. Mon rôle sera alors de vous soutenir et vous guider vers l’atteinte de votre objectif, dans le respect de votre personnalité et l’écoute de vos besoins.

Un peu d'étymologie

Le mot « coach » est, en lui-même, instructif pour comprendre le concept. À l’origine, le coach ou coche en français, désignait une grande voiture tirée par des chevaux, qui servait au transport des voyageurs, par extension, le terme évoquait aussi le conducteur. Aujourd’hui, le coach est, en quelque sorte, le véhicule ou la personne qui vous conduira sur le chemin de votre propre développement personnel, autant sur des questions privées que professionnelles.

Un bon exemple valant mieux qu’un long discours, laissez-moi vous raconter l’histoire de Sophie : noyée dans son agenda, elle n’arrive plus à équilibrer sa vie privée et professionnelle dans une société où tout va si vite.

Sophie cherche son équilibre

Assise à son bureau, les mains entourant sa tasse de café qu’elle savoure en attendant le démarrage de son PC, Sandra ne sursaute même pas à l’entrée de « la tempête Sophie », comme elle a surnommé sa collègue et amie. Téléphone à l’oreille et dossiers sous le bras, Sophie entre en trombe en lui adressant un signe de tête en guise de bonjour. Ce salut pourrait sembler presque grossier mais Sandra connaît trop bien son amie pour s’en formaliser. 

Pourtant, quelque chose cloche ce matin, Sophie aboie dans son téléphone avec un ton d’adjudant-chef qui ne lui ressemble pas et son maquillage toujours impeccable ne suffit pas à masquer les ombres gris-bleu sous ses yeux.

Elle conclut son appel d’un « ouais, c’est ça, fais ton job, t’es payé pour » et balance son téléphone sur le bureau d’un geste énervé.

« Et bien ! Je ne sais pas à qui tu parlais mais il t’a au moins piqué ton petit-dej pour mériter autant de colère ? » lui lance Sandra.

« Ha, ha, très drôle », lui rétorque Sophie en lui lançant un regard renfrogné.

« Ton petit-déj ET ton sens de l’humour apparemment ! Qu’est ce qui t’arrive, ça ne te ressemble pas ? »

« Ho, excuse-moi ma belle », répond Sophie, en s’asseyant et paraissant tout à coup plus accablée qu’énervée. « Je suis débordée, j’ai passé la nuit avec une bassine à côté du lit de Flore qui fait une gastro et Louis dans les pattes qui me demandait si sa sœur allait mourir ! Le tout pendant que leur cher père ronflait tranquillement à côté. En plus, on a la réunion de présentation des prévisions budgétaires avec le Conseil d’Administration à 14h et l’autre tache des ressources humaines ne m’a pas encore rendu toutes ses pièces. Rajoute à ça la rentrée scolaire et les 65 ans de mon beau-père ce soir à la maison et pour lesquels je n’ai pas encore fait les courses ! Tu vois le tableau ? »

Sophie a prononcé ces phrases comme un sprint et semble à présent s’enfoncer dans son siège, les épaules basses, comme écrasée sous le poids de son propre énoncé qu’elle conclut presque essoufflée.

« Il me faudrait des journées de 48h pour tout faire et pour espérer garder suffisamment de temps pour moi pour ressembler à quelque chose, ajoute Sophie. T’as vu ma tête, on dirait Morticia Adams ! » 

« Rassure-toi, t’es beaucoup mieux fringuée », lui répond Sandra avec un petit clin d’œil. « Plus sérieusement, tu ne penses pas qu’un petit coup de main te serait utile ? Tu as déjà pensé à faire appel à un coach en développement personnel ? »

« Un coach ? Hé, ho, tu crois que j’ai le temps de caser une psychothérapie dans mon agenda ? Et puis je suis débordée, pas malade mentale ! »

« Je te le confirme, tu n’es pas malade mais tu es épuisée. Et je ne te parle pas d’un psy mais d’un coach, quelqu’un qui va t’aider à trouver tes propres solutions pour grandir. »

« Je ne suis plus une gamine, j’ai fini ma croissance et j’ai passé l’âge qu’on me dise comment gérer ma vie. »

« On apprend à tout âge ma chérie, notamment à gérer son temps ! Et, comme je viens de te le dire, un coach ne te dira pas quoi faire, il va t’aider à y voir clair et à tracer ton propre chemin plutôt que de subir ton quotidien. »

« Tu as l’air d’en connaître un rayon. Comment tu connais le coaching toi ? »

« Tu te souviens que j’ai eu une mauvaise passe il y a quelques mois ? Tu ne peux pas l’avoir oublié vu le temps que tu as passé à éponger mes jérémiades ! Tu ne trouves pas que ça va mieux maintenant ? »

« Si, bien sûr, je t’ai vue reprendre du poil de la bête, ça m’a d’ailleurs fait très plaisir. »

« Et tu crois que j’y suis arrivée seule ? Ton soutien a été important bien sûr mais tu ne pouvais évidemment trouver les solutions à ma place. C’est là que j’ai trouvé un coach qui m’a aidée à trouver mes ressources et à les utiliser. Ça a marché pour moi alors pourquoi pas pour toi ? » 

« Heu, oui, peut-être… » répond Sophie, un peu désarçonnée.

« Et même sûrement : tu es une super collègue, une super maman et une super amie mais ça m’inquiète de te voir te vider de ton énergie. Tes journées ressemblent de plus en plus à un combat quotidien, tu souris de moins en moins et tu t’énerves de plus en plus. C’est clair que t’as besoin de personne pour décider à ta place mais un coup de main pour gérer ton temps et tes priorités, ce ne serait pas du luxe. »

« T’es rude avec moi répond Sophie avec un petit sourire entendu. C’est vrai que j’ai de plus en plus de mal à gérer mon stress, même avec mes petits anges je manque de patience, je m’en veux mais j’aimerais parfois juste avoir un peu de temps pour moi. » 

« Et là, tu viens de mettre le pied dans la toute première étape : formuler une demande. »

« Ah oui, j’ai fait ça moi ? » demande Sophie, perplexe.

« Et oui », répond Sandra en riant ! « Tu viens de dire que tu avais besoin de prendre du temps pour toi, pour te ressourcer et être plus zen avec ceux que tu aimes. C’est bien ça l’idée ? » 

« C’est bien l’idée mais c’est plus facile à dire qu’à faire ! »

« Justement, c’est là que le coaching va t’être utile, en te permettant de travailler là-dessus pour fixer tes priorités, en accord avec tes valeurs et tes besoins personnels. »

Sophie fixe intensément son amie et lui répond après un silence : « Tu sais que je t’adore toi ? »

Sophie ironise mais elle est touchée par la bienveillance que son amie lui témoigne. L’idée de se faire accompagner par un coach personnel devient plus précise, elle commence à en percevoir l’intérêt face aux difficultés qu’elle rencontre.

« Moi aussi ma grande, et j’ai très envie que tu ailles de l’avant. Je viens de t’envoyer les coordonnées du coach dont je t’ai parlé », dit Sandra en pianotant sur son ordi.
« Appelle-le, tu n’as rien à perdre. »

Comment se passe un coaching personnel ?

Sandra à raison : vous n’avez rien à perdre, le premier rendez-vous est gratuit. Sophie est débordée, épuisée et n’arrive plus à trouver du temps pour elle. Vous vous reconnaissez en elle ? Trouver son équilibre entre vie personnelle et professionnelle, retrouver la maîtrise de son temps sont des défis dans notre monde en pleine mutation.

Un coaching dure quelques semaines ou quelques mois, selon qu’il vise des objectifs ponctuels ou plus globaux. Le rythme des séances est fixé en accord entre le coach et le coaché. Le questionnement constitue la base de la relation entre le coach et le coaché. À ce titre, le modèle GROW structure les séances pour vous permettre de grandir vers votre objectif.

Le modèle grow



Revenons à Sophie. Rappelez-vous, Sophie est une jeune maman dynamique, directrice financière soucieuse du travail bien fait et qui aime aussi multiplier les activités en famille et entre amis. Débordée par son agenda, elle s’épuise et est rongée par son stress. Elle aimerait pouvoir mieux gérer son temps afin d’en retrouver pour prendre soin d’elle-même. Sous les conseils de sa collègue et amie, elle a pris un rendez-vous dont je vous livre ici un court extrait :

L'objectif de Sophie : Gérer son temps et ses priorités

« Sophie, Seriez-vous d’accord pour que l’on se tutoie ? »

« Bien volontiers, c’est moins formel. »

« Tu souhaites pouvoir trouver du temps pour toi-même. Qu’aimerais-tu faire de ce temps retrouvé ? »

« J’aimerais me remettre au sport, ça me défoule, ça me détend et ça m’aiderait à rentrer dans mon jeans préféré ! » Explique Sophie avec un petit rire ironique. « Ou faire du shopping pour la déco de la maison, une soirée entre filles ou même simplement m’asseoir avec un bouquin. J’ai plein d’envies mais ce que je voudrais surtout c’est pouvoir me ressourcer pour être plus sereine avec mes collègues, les gens que j’aime et surtout avec mes enfants. A force d’être stressée, je deviens susceptible, je ne veux pas devenir insupportable ! »

« Cela signifie quoi concrètement d’être insupportable ? Qu’entends-tu par là ? »

Sophie réfléchit un instant en fronçant les sourcils avant de répondre : « j’ai l’impression de courir tout le temps, d’être continuellement en train de penser à 50 choses à faire, du coup, je m’énerve pour un rien. On dirait que mon cerveau est devenu une « to do list » interminable, je suis épuisée et je n’arrive plus à vraiment profiter des bons moments. »

« En quoi le fait de prendre du temps pour toi améliorerait cette situation ? »

« En me permettant de me ressourcer pour être pleinement disponible et agréable avec ceux que j’aime. Mais il y a tellement de choses qui me tiennent à cœur, difficile de faire le tri ! En plus c’est la rentrée et c’est la folie au boulot aussi, on est en plein dans les prévisions budgétaires, alors les cahiers à recouvrir, les journaux de classe à contrôler et les compas perdus, ça devient compliqué. »

À travers ces questions, Sophie précise son objectif (Goal) : elle souhaite avoir du temps pour elle afin de pouvoir profiter pleinement des instants qui lui sont chers. Elle prend ainsi conscience de son besoin fondamental d’avoir des relations de qualité, au niveau professionnel et personnel et donc de toute l’importance de ne pas laisser son stress détériorer ses relations.

« Combien d’heures passes-tu au travail chaque jour ? »

« Environ 9h par jour au bureau mais je complète généralement le soir, pendant une heure ou deux quand les enfants sont couchés. Sauf le mercredi, ce jour-là, je m’arrange pour quitter le travail plus tôt pour faire une activité avec les enfants. »

« Et tes week-ends, ils ressemblent à quoi ? »

« Une fois que mon mari et moi avons réglé les impératifs du quotidien, courses, ménage…le plus souvent, on consacre du temps pour recevoir mes parents ou mes beaux-parents. Cela leur permet de voir leurs petits-enfants, ils en sont raides dingues ! » À ces mots, un vrai sourire illumine le visage de Sophie. « On a pas mal d’amis aussi avec qui on aime passer du temps. J’adore ça mais c’est tellement court un week-end… »

« Je te vois sourire à l’évocation de tes parents et beaux-parents. Tu as de bonnes relations avec eux ? »

« Oh oui, pour ça j’ai de la chance, ils sont adorables, tous les 4 et ils sont des grands-parents en or. »

En explorant sa réalité quotidienne (Reality), Sophie fait ressortir un emploi du temps chargé mais aussi un entourage proche chaleureux. Son sourire apporte un éclairage supplémentaire pour comprendre la situation globale.

« Permets-moi de te raconter une histoire. Je suis passionné par les loups et leur comportement, j’ai eu l’occasion de les étudier par le passé. Dans une meute, chaque membre a sa place et les loups âgés, même s’ils n’ont plus la même énergie, restent des membres respectés. J’ai lu à ce sujet l’histoire d’un vieux loup, arrivé au bel âge de 8 ans, il appréciait le calme et se tenait régulièrement un peu plus à l’écart, cherchant le repos. Pourtant, lorsque les individus plus vaillants partaient à la chasse, il devenait un baby-sitter hors pair ! Les louveteaux l’assaillaient de leurs jeux et il leur donnait bien volontiers le change, il semblait prendre des bains de jouvence avec eux. Il allait même parfois jusqu’à laisser gagner les jeunes louveteaux, leur permettant ainsi de faire l’expérience de se mesurer à plus fort qu’eux, et de vaincre ! Que penses-tu de cette famille de loup et qu’est-ce que cela t’inspire par rapport à ta propre famille ? »

Sophie saisit très vite la portée de cette métaphore, son sourire s’élargit : « c’est une belle famille, ils prennent soin les uns des autres, ça ressemble un peu à la mienne. En fait, je comprends que je ne suis pas toute seule et j’aime beaucoup l’image de ce vieux loup qui joue avec les louveteaux, on dirait les grands-parents de mes "louveteaux" ». Elle s’interrompt, tout à coup songeuse.

« Que se passe-t-il Sophie ? À quoi penses-tu ? »

« À mes enfants et leurs grands-parents. Je me dis qu’ils aimeraient probablement passer du temps ensemble, sans mon mari et moi mais… »

« Mais ? Que crains-tu ? »

« Je ne veux pas surcharger leurs grands-parents et puis… j’ai peur de passer pour une mauvaise mère qui cherche à se débarrasser de ses gosses… » souffle-t-elle en baissant les yeux.

« Tu dis que tes enfants et leurs grands-parents ont une belle relation et qu’ils aimeraient passer du temps ensemble. En quoi leur en donner l’opportunité ferait-il de toi une mauvaise mère ? »

Un mélange d’émotions passe sur le visage de Sophie, on y devine une forme d’étonnement. « Eh bien, en rien, vu comme ça, c’est même plutôt séduisant. »

La métaphore permet à Sophie de prendre conscience de possibilités (Options) qu’elle n’avait pas envisagées à cause de certains freins liés à des croyances limitantes.

« De quoi aurais-tu besoin pour pouvoir envisager de leur donner ce temps ensemble et de pouvoir ainsi dégager du temps pour toi ? »

« Il faut que j’en parle avec mon mari, j’ai besoin d’échanger avec lui à ce sujet. Et puis, il faut aussi qu’on voie cela ensemble pour l’organisation pratique, avant d’en parler à mes parents et beaux-parents. »

« Quand penses-tu en parler avec ton mari ? »

« En rentrant ce soir ! » répond-elle sans hésitation.

« Tu serais satisfaite si tu avais réussi à mener à bien quelle action pour la prochaine séance ? »

« Je pense que mon mari sera partant sur l’idée, le tout est que l’on se mette d’accord sur les détails pratiques et, bien sûr, que l’on en parle avec les grands-parents. On doit les voir ce week-end, j’aimerais pouvoir leur proposer l’idée à ce moment-là et savoir si cela leur convient. »

J’invite ici Sophie à reformuler ses idées afin qu’elles soient précises et planifiées, pour passer de la simple idée à un plan d’actions, un chemin à suivre (Way Forward)

« Comment te sens-tu à cette idée ? »

« Je me sens requinquée. J’ai un peu peur, j’avoue, mais je suis hyper motivée ! »

Durant le reste de la séance, j’ai travaillé avec Sophie sur cette peur de passer pour une mauvaise mère, croyance limitante liée à sa personnalité empreinte de courage mais qui l’amène au-delà de ses limites. Rendez-vous est pris pour explorer plus avant ces aspects et faire progresser Sophie à la rencontre d’elle-même et de son objectif.

Je veux aussi trouver mon équilibre
entre vie privée et vie professionnelle

Pourquoi faire appel à un coach de vie ?

Parce qu’une meilleure connaissance de soi, de ses attentes, de ses ressources et de ses freins est un atout essentiel pour votre développement personnel. Que vous soyez face à un changement professionnel, à des difficultés pour gérer vos priorités, à un désir de reconversion ou encore à des problèmes de communication, je vous accompagnerai dans la durée vers l’atteinte de vos objectifs.

Afin de construire une relation de confiance, la première séance est gratuite. Je vous recevrai toujours dans l’écoute et la bienveillance. Le cas de Sophie exposé ici est inspiré de la réalité mais les noms et situations ont évidemment été volontairement modifiés, la confidentialité des échanges étant assurée.

Si vous avez envie de découvrir d’autres histoires de coaching, suivez-moi sur ce blog, je vous y présenterai prochainement Patrick, chargé de recouvrement au grand cœur qui souhaite développer sa confiance en lui et devenir entrepreneur. Et encore d’autres à découvrir, avec leurs propres défis et difficultés mais toujours prêts à partir à l’aventure de la rencontre d’eux-mêmes. Et pourquoi pas vous?

Comment trouver un bon coach de vie ?

Trouver la bonne personne repose sur des critères objectifs et subjectifs.

Les critères objectifs de localisation et de prix sont évidemment les éléments les plus évidents. Je vous reçois tous les jours, de 17h30 à 19h30, au Centre Emi’Santé à Emines. Vous pouvez prendre rendez-vous par téléphone (081/34 66 77 ou 0491/630 798) ou en cliquant ici.

Soyez aussi attentifs à la formation de votre coach. Vous trouverez sur internet des sites de personnes qui s’autoproclament coachs. Un bon coach de vie doit avoir un minimum de bagages et de formation attestés par un certificat ou un diplôme de coach. Je suis coach certifié par la Fédération Internationale de Coaching (ICF – International Coaching Federation), je suis aussi bioingénieur et entrepreneur. Pour en savoir plus sur mon parcours, je vous invite à en savoir plus sur mon approche. A côté de ces éléments objectifs, intervient aussi une question « d’alchimie ». Le coaching est une relation interpersonnelle et implique donc forcément une part de subjectivité. Pour vous permettre de faire ma connaissance et de décider en toute sérénité si vous souhaitez cheminer avec moi, la première séance est toujours offerte.

Combien coûte une séance de coaching personnel ?

Les séances suivantes sont au prix de 60 € TVAC/séance, chaque séance durant environ une heure. Si vous décidez de travailler avec moi, nous établirons un contrat de coaching qui déterminera la fréquence et le nombre de séances en fonction de vos objectifs. En général, une cliente comme Sophie atteint son objectif en 5 à 8 séances. Ainsi, vous aurez une vue claire et précise sur la durée et le budget de votre coaching, sans risque d’une mauvaise surprise.

PRENDRE RENDEZ-VOUS

Je suis impatient de vous connaître et de vous accompagner et je vous donne déjà rendez-vous très bientôt sur ces pages pour d’autres aventures.

« Le temps est gratuit, mais il est inestimable.  Vous ne pouvez pas le posséder mais pouvez l’utiliser. Vous ne pouvez pas le garder mais pouvez le dépenser. Une fois perdu, vous ne pouvez plus jamais le récupérer. »

Harvey Mackay

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